IMARKSCORE À LA RESCOUSSE


Le célèbre HEC Montréal a récemment « noté » 84 marques à propos de leur présence interactive avec leur client. En effet, de nos jours les entreprises n’ont plus le choix d’investir dans le web 2.0 afin d’entrer plus facilement en contact avec leurs clients et aussi dans le but de créer un lien d’attachement avec eux. Parmi les points évalués par ce test nommé imarkscore, il y avait entre autres le site internet, la présence des médias sociaux, les applications pour téléphone intelligent, etc. Après la publication des résultats et malgré ce que nous pourrions pensés, il reste encore beaucoup de chemin à faire pour plusieurs entreprises, même que certaines sont réticentes à plonger dans le monde de l’informatique!

Selon moi, les entreprises qui ne veulent pas utiliser les technologies font une grosse erreur. Le fait est que lorsqu’un client a goûté à la magie du web 2.0 et qu’il a aimé son expérience, il peut, par la suite difficilement envisager de ne plus l’utiliser. Il sera donc porté à se diriger vers les entreprises qui offrent ce genre de service, quitte à en délaisser une. Bref, je crois que la fidélisation passe par les technologies. Je pense aussi qu’il est important pour les entreprises de profiter de cet engouement et de, sans plus attendre, s’adapter à cette nécessité. De plus, nous savons qu’il est beaucoup plus coûteux pour une entreprise de devoir réacquérir un client plutôt que de lui « donner ce qu’il veut ». Une entreprise a donc avantage à améliorer son site internet et à être présente dans les médias sociaux et à offrir des applications afin de satisfaire ses clients. Si elle attend trop, il sera alors trop tard et elle devra par le fait même débourser beaucoup d’argent afin de reconquérir ses anciens clients.

Ce n’est pas un secret, en ce qui a trait à internet et aux technologies, nous n’avons encore rien vu et le meilleur est à venir. Sachant cela, il devient donc un non-sens pour une entreprise de ne pas mettre l’emphase sur cet aspect si primordial. Les entreprises doivent voir à long terme et non pas s’arrêter aux dépenses que la création d’une application engendrerait par exemple. Ne pas investir dans le futur, c’est courir à sa perte, et c’est justement ce que certaines entreprises font. Reste à savoir qui sera la prochaine à tomber…

Cédric Bernier

FOURNIER, Marie-Ève. Les Affaires. (Page consultée le 20 novembre 2011), [en ligne], Adresse URL : http://www.lesaffaires.com/archives/generale/quel-est-votre-imarkscore-/537780

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